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� titre de ministre de la S�curit� publique, je suis heureux de pr�senter au Parlement le Rapport minist�riel sur le rendement 2010-2011 du Service correctionnel du Canada (SCC) pour la p�riode se terminant le 31 mars 2011.
Le SCC fait partie du continuum de la s�curit� publique – sous l’�gide de S�curit� publique Canada –, qui s’efforce d’assurer la s�curit� des Canadiens gr�ce � la prestation de programmes et de services dans des domaines comme l’application de la loi, la s�curit� des fronti�res, la gestion des situations d’urgence, la s�curit� nationale, la pr�vention du crime et la mise en libert� sous condition.
Pour sa part, le SCC est responsable de la prise en charge et de la garde des d�linquants sous responsabilit� f�d�rale qui purgent des peines de deux ans ou plus impos�es par les tribunaux. Cela inclut la gestion des �tablissements correctionnels de diff�rents niveaux de s�curit�, la surveillance des d�linquants qui b�n�ficient de diverses formes de mise en libert� dans la collectivit� et la prestation de programmes et de services aux d�linquants qui contribueront � leur r�adaptation et � leur retour ultime dans la collectivit�. Le SCC fournit aussi des renseignements au sujet des d�linquants sous responsabilit� f�d�rale aux victimes inscrites, et invite celles-ci � formuler des d�clarations dont on tient compte lorsqu'on prend des d�cisions relatives au cas du d�linquant.
Durant l’exercice 2010-2011, le SCC a continu� d’int�grer son Programme de transformation dans le cadre de ses activit�s quotidiennes, conform�ment � la nouvelle vision du gouvernement � l’�gard du syst�me correctionnel f�d�ral. Gr�ce aux changements apport�s jusqu’� maintenant au SCC, et ceux qui continuent d’�tre mis au point, le SCC sera en meilleure position pour r�aliser son mandat et contribuer � assurer une plus grande s�curit� au Canada et � ses citoyens.
En outre, l’organisation a r�pondu de fa�on comp�tente aux d�fis que repr�sente la gestion d’une population de d�linquants de plus en plus importante, complexe et diversifi�e, ce qui comprend l’�laboration de strat�gies de logement qui permettront � l’organisation d’�tre plus � m�me de continuer � exercer un contr�le s�r, s�curitaire et humain sur les d�linquants, tant au sein des �tablissements que dans la collectivit�. Dans le m�me ordre d’id�es, et afin de faire montre de l’approche � volets multiples adopt�e par l’organisation pour faire face � cet environnement en �volution, j’ai �t� ravi d’int�grer une nouvelle priorit� strat�gique pour le SCC dans le Rapport sur les plans et les priorit�s de 2011-2012 : � Des relations productives avec une diversit� croissante de partenaires, d’intervenants et d’autres parties int�ress�es contribuant � la s�curit� publique �. Cette priorit� rend compte de la r�alit� selon laquelle le SCC ne peut s’acquitter seul de son mandat.
Le SCC continue de s’adapter et d’�voluer en tant qu’organisation pour maintenir le cap et demeurer souple dans un environnement ax� sur la s�curit� active. Je suis fier de la fa�on professionnelle dont les quelque 17 000 employ�s du SCC s’acquittent de leurs t�ches tous les jours, et je suis s�r qu'ils continueront � utiliser la m�me approche pour relever les d�fis futurs qui se pr�senteront � eux.
L'honorable Vic Toews, c.p., c.r., d�put�
Ministre de la S�curit� publique
Le Service correctionnel du Canada (SCC) est l’un de plusieurs organismes f�d�raux du portefeuille de la S�curit� publique, dirig� par le ministre de la S�curit� publique. Le SCC est l'organisme charg� de l'administration des peines impos�es par les tribunaux aux d�linquants condamn�s � un emprisonnement
de deux ans ou plus.
La Loi sur le syst�me correctionnel et la mise en libert� sous condition et son r�glement d’application conf�rent au SCC son mandat l�gislatif, et c’est l’�nonc� de mission de longue date du SCC qui oriente ses activit�s quotidiennes :
Le Service correctionnel du Canada, en tant que composante du syst�me de justice p�nale et dans la reconnaissance de la primaut� du droit, contribue � la s�curit� publique en incitant activement et en aidant les d�linquants � devenir des citoyens respectueux des lois, tout en exer�ant sur eux un contr�le raisonnable, s�r, s�curitaire et humain1
Installations g�r�es par le gouvernement f�d�ral
Le SCC g�re des �tablissements pour hommes et pour femmes, des centres de traitement psychiatrique, des pavillons de ressourcement pour d�tenus autochtones, des centres correctionnels communautaires et des bureaux de lib�ration conditionnelle; il assure �galement la surveillance de d�linquants qui font l’objet de diff�rents types de mise en libert� conditionnelle dans la collectivit�.
Pendant l’exercice 2010 2011, en moyenne, le SCC �tait responsable de 14 200 d�linquants incarc�r�s dans des �tablissements f�d�raux, et de 8 600 d�linquants sous surveillance dans la collectivit�. Si l'on inclut toutes les admissions et les mises en libert� au cours de l’exercice, le SCC a g�r� 20 233 d�linquants incarc�r�s et assur� la surveillance de 13 971 d�linquants dans la collectivit�2. Approximativement 17 900 personnes3 travaillent pour le Service, et environ 83 pour cent d’entre elles travaillent dans les �tablissements ou dans la collectivit�. Deux groupes professionnels repr�sentent plus de la moiti� des employ�s affect�s aux op�rations : le groupe des agents correctionnels repr�sente 40 pour cent de l’effectif, et 15 pour cent des employ�s appartiennent au groupe des Programmes de bien �tre social, qui comprend les agents de lib�ration conditionnelle et les agents de programmes qui travaillent dans les �tablissements et dans la collectivit�. Le reste de l’effectif du SCC refl�te la grande vari�t� des autres comp�tences requises dans les �tablissements et dans les bureaux de la collectivit� et inclut des professionnels de la sant�, des �lectriciens, du personnel de cuisine et des employ�s charg�s d’accomplir des fonctions g�n�rales et administratives � l’�chelle locale, r�gionale et nationale. Environ 47,8 pour cent des employ�s du SCC sont des femmes, 5,8 pour cent sont membres d’une minorit� visible, 4,4 pour cent sont des personnes handicap�es et 7,8 pour cent, des Autochtones.
Dans les derni�res ann�es, le profil des d�linquants admis dans les �tablissements du SCC est devenu plus complexe et diversifi�. Le SCC a continu� � r�aliser des initiatives de transformation, s’est adapt� et a modifi� ses activit�s et ses programmes afin de garantir les interventions les plus efficaces et les plus appropri�es pour r�pondre aux besoins des d�linquants dont il est responsable. Le SCC s’efforce principalement de veiller � ce que les communications soient efficaces � tous les niveaux de l’organisation et � ce que les efforts correctionnels soient pleinement int�gr�s, de l’admission du d�linquant � l’expiration du mandat. De plus, le SCC harmonise strat�giquement la planification de ses activit�s et aborde l’am�lioration des infrastructures et de sa capacit� d’accueil, le renouvellement des ressources humaines et les exercices d’examen strat�gique.
Le SCC ne travaille pas seul pour s’acquitter de son mandat et ne peut pas le faire, et il a des relations de collaboration productive avec de nombreux intervenants et partenaires qui participent � la prestation de services. Par exemple, 8 700 b�n�voles sont actifs dans les �tablissements et dans les collectivit�s, et ils apportent une contribution essentielle. Ils mettent en valeur et appuient le travail des employ�s du SCC et �tablissent des liens entre la collectivit� et le d�linquant. Le Service a aussi des comit�s consultatifs de citoyens b�n�voles � l’�chelle locale, r�gionale et nationale afin de pousser les citoyens � formuler des commentaires sur les politiques et pratiques du Service.
Le SCC est �galement fier de jouer un r�le important � l’ext�rieur du Canada, principalement gr�ce � son Programme de d�veloppement international, qui contribue � la paix et � la stabilit� dans le monde par la promotion de la saine gestion publique, des droits de la personne et de la d�mocratie. Dans le cadre de sa participation, le SCC a continu� de contribuer � la formation et � l’encadrement du personnel de la prison Sarpoza de Kandahar, en Afghanistan, et de diverses prisons en Ha�ti. De m�me, le Service, de concert avec la Su�de, a jou� un r�le actif par le truchement du D�partement des op�rations de maintien de la paix des Nations Unies afin d’�laborer des normes et de la formation pour le d�ploiement de professionnels des services correctionnels issus de pays africains dans des r�gions de ce continent o� il y a eu des conflits r�cemment. Aussi, le SCC encourage les demandes d’�tudes pr�sent�es par des personnes, des universitaires et des organisations d’autres pays et joue un r�le cl� dans l’�tablissement de partenariats et la communication de donn�es et de r�sultats de recherche pouvant aider d’autres pays � am�liorer leurs programmes correctionnels.
Le SCC contribue � l’objectif global d’assurer la protection et la s�curit� du Canada gr�ce � son seul et unique r�sultat strat�gique : � La garde, les interventions correctionnelles et la surveillance des d�linquants dans la collectivit� et dans les �tablissements contribuent � la s�curit� publique. �
Pour que le r�sultat strat�gique soit atteint, les d�linquants sont maintenus � sous garde � dans des �tablissements. Les d�linquants admissibles qui obtiennent une mise en libert� sous condition sont transf�r�s dans les collectivit�s, o� ils sont g�r�s dans le cadre de la � surveillance dans la collectivit� �.4
Qu’ils se trouvent dans un �tablissement ou dans la collectivit�, les d�linquants font l’objet d’� interventions correctionnelles � qui les aident � modifier les comportements � la source de leurs activit�s criminelles et � devenir des citoyens respectueux des lois. Certaines interventions commencent au moment o� le d�linquant se trouve dans un �tablissement et se poursuivent une fois qu’il retourne dans la collectivit�; elles facilitent donc le processus de r�insertion sociale en toute s�curit� des d�linquants dans la collectivit�. Les Services internes comprennent tous les services organisationnels et administratifs qui soutiennent la prestation efficace et efficiente des programmes op�rationnels et des services et la r�alisation des activit�s dans l'ensemble de l'organisation.
L’Architecture d’activit�s de programme montre comment le SCC organise son travail afin d’obtenir les meilleurs r�sultats possible en mati�re de s�curit� publique :
Le r�sultat strat�gique du SCC est mis en valeur par cinq priorit�s organisationnelles qui sont align�es avec celui-ci et qui orientent le travail quotidien du SCC relativement � l’obtention de r�sultats en mati�re de s�curit� publique.
Priorit� | Type |
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Assurer la transition en toute s�curit� des d�linquants admissibles dans la collectivit� | Continu |
R�sultats (atteints en majeure partie) | |
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Liens avec le r�sultat strat�gique | |
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Priorit� | Type |
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Assurer la s�curit� du personnel et des d�linquants dans nos �tablissements | Continu |
R�sultats (tous atteints) | |
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Liens avec le r�sultat strat�gique | |
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Priorit� | Type |
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Am�liorer la capacit� d’intervenir efficacement aupr�s des d�linquants issus des Premi�res nations et des d�linquants m�tis et inuits | Continu |
R�sultats (tous atteints) | |
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Liens avec le r�sultat strat�gique | |
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Priorit� | Type |
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Am�liorer la capacit� de r�pondre aux besoins en sant� mentale des d�linquants | Continu |
R�sultats (tous atteints) | |
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Liens avec le r�sultat strat�gique | |
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Priorit� | Type |
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Renforcer les pratiques de gestion | Continu |
R�sultats (atteints en majeure partie) | |
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Liens avec le r�sultat strat�gique | |
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Au cours de l’exercice 2010‑2011, le SCC a continu� � cerner, � surveiller et � g�rer des risques dans un milieu de plus en plus complexe et difficile afin de r�aliser des r�sultats de qualit� en mati�re de s�curit� publique pour toutes les initiatives.
Le SCC est confront� � une augmentation des pressions et des exigences en raison de l’augmentation du nombre de d�linquants, de la population de d�linquants plus difficile et plus diversifi�e, des besoins importants des d�linquants en sant� mentale, de la surrepr�sentation des d�linquants autochtones, du vieillissement de l’effectif, des d�fis li�s aux logements des d�tenus et de la d�t�rioration des infrastructures. En cons�quence, le SCC devra g�rer ces multiples d�fis de fa�on int�gr�e tout en obtenant de bons r�sultats en mati�re de s�curit� publique.
Le SCC g�re les risques de fa�on continue � tous les niveaux et dans toutes les installations de son vaste environnement de travail complexe et d�centralis�, les cadres des plus hauts niveaux de direction (Comit� de direction du Service) surveillant les risques de haut niveau, pendant que les cadres interm�diaires et les responsables des op�rations et des �tablissements g�rent les risques moyens et peu �lev�s.
Le Profil de risque organisationnel du SCC a cern� 12 risques de haut niveau qui exigent la mise en œuvre d’une strat�gie d’att�nuation. Il s’agit des risques suivants :
Pour garantir la gestion des risques � tous les niveaux et dans toutes les installations, le SCC utilise un Profil de risque fonctionnel qui cerne les risques et aborde des strat�gies permettant de g�rer les risques peu �lev�s qui pourraient devenir des risques pour l’organisation s’ils ne sont pas g�r�s ou qui pourraient avoir des r�percussions directes ou indirectes sur les efforts visant � g�rer les risques existants pour l’organisation ou qui sont uniques dans un domaine fonctionnel pr�cis.
Pendant la p�riode vis�e par le rapport, le Comit� de direction du SCC a examin� les progr�s r�alis�s par rapport � son profil de risque organisationnel et a cern� des strat�gies de gestion des risques. Les r�sultats relatifs aux progr�s sont publi�s � l’interne, et des rapports sont �tablis r�guli�rement afin d’examiner l’�tat des strat�gies de gestion du risque.
La plupart des strat�gies de gestion du risque du SCC ont respect� les �ch�anciers, les budgets et les plans, et, dans certains domaines, des mesures tr�s proactives ont �t� prises pour emp�cher que les risques deviennent plus importants. Par exemple, comme d’autres organisations f�d�rales, le SCC continue de faire face � des difficult�s en lien avec les d�parts � la retraite d’employ�s et une forte concurrence sur le march� du travail quand vient le temps d’attirer des professionnels et des travailleurs qualifi�s de divers domaines. Au sein du Cadre de recrutement, des plans et des calendriers de liaison r�gionaux ont �t� �labor�s et mis en œuvre afin de combler de mani�re efficace les �carts en mati�re d’effectifs. Des proc�dures op�rationnelles pour l’apprentissage et le perfectionnement ont �t� �labor�es et sont actuellement mises en œuvre. De plus, le SCC a poursuivi la mise en œuvre du Plan d’action sur l’�quit� en mati�re d’emploi afin d’�liminer les obstacles syst�miques qui nuisent � des groupes d�sign�s et de r�gler des probl�mes de sous-repr�sentation, o� cela est possible, au moyen de r�sultats mesurables � l’�chelle nationale et r�gionale.
D�penses pr�vues | Total des autorisations5 | D�penses r�elles6 |
---|---|---|
2 460,2 | 2 559,7 | 2 375,0 |
Ressources pr�vues | Ressources r�elles | �cart7 |
---|---|---|
16 587 | 18 045 | 1 458 |
Activit� de programme | 2009-2010 D�penses r�elles |
2010-2011 | Concordance avec les r�sultats du gouvernement du Canada | |||
---|---|---|---|---|---|---|
Budget principal des d�penses | D�penses pr�vues |
Total des autorisations |
D�penses r�elles5b |
|||
Garde | 1 379,5 | 1 687,4 | 1 687,4 | 1 724,2 | 1 478,5 | Assurer la protection et la s�curit� du Canada |
Interventions correctionnelles | 416,3 | 436,0 | 436,0 | 456,8 | 410,1 | Assurer la protection et la s�curit� du Canada |
Surveillance dans la collectivit� | 100,3 | 123,9 | 123,9 | 134,6 | 102,7 | Assurer la protection et la s�curit� du Canada |
Total | 1 896,1 | 2 247,3 | 2 247,3 | 2 315,6 | 1 991,3 |
Activit� de programme | 2009-2010 D�penses r�elles |
2010-2011 | |||
---|---|---|---|---|---|
Budget principal des d�penses | D�penses pr�vues |
Total des autorisations |
D�penses r�elles5c |
||
Services internes | 369,0 | 212,9 | 212,9 | 244,1 | 383,7 |
Tous les r�sultats inclus dans le pr�sent Rapport minist�riel sur le rendement sont ceux de la deuxi�me ann�e de l’initiative quinquennale du SCC visant � am�liorer les r�sultats correctionnels, qui a commenc� en 2009‑2010. Les r�sultats en mati�re de rendement li�s aux priorit�s organisationnelles dans la section 1 et aux activit�s de programme dans la section 2 du pr�sent document appuient le r�sultat strat�gique du SCC. Par cons�quent, l’exercice rep�re est 2008‑2009.
Indicateurs de rendement | Objectifs | Rendement de 2010‑20118 |
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R�cidive violente | R�duire le nombre de r�cidives violentes | Le taux de d�linquants qui sont d�clar�s coupables d’un nouveau crime violent pendant leur surveillance dans la collectivit� a diminu� de 2008‑2009 � 2009‑2010. |
R�cidive non violente | R�duire le nombre de r�cidives non violentes | Le taux de d�linquants qui sont d�clar�s coupables d’un nouveau crime non violent pendant leur surveillance dans la collectivit� a diminu� de 2008‑2009 � 2009‑2010. |
Rendement au chapitre de la surveillance communautaire | R�duire le nombre de r�cidives pendant la p�riode de surveillance | Le taux de d�linquants qui sont d�clar�s coupables d’un nouveau crime pendant leur surveillance dans la collectivit� a diminu� de 2008‑2009 � 2009‑2010. |
Comme le pr�cise le Rapport sur le rendement minist�riel de 2009-2010, en 2010-2011, le SCC a adopt� une m�thode de calcul des taux fond�e sur le taux d’incidence9. Il s’agit d’une m�thode de calcul de taux pr�cise, fiable et exhaustive qui permet de faire des comparaisons entre le rendement de diverses p�riodes et qui fournit une validit� ou une � fr�quence � accrue des �v�nements mesur�s. Le format du rapport est un � taux par 100 ann�es-personnes de d�linquants � o� le taux d’incidence est multipli� par 100 dans le but de fournir un contexte relatif concernant les populations de d�linquants.
Pour obtenir plus de renseignements sur nos cr�dits organisationnels et/ou d�penses l�gislatives, veuillez consulter les Comptes publics du Canada 2010-2011 (Volume II).